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Les Mathématiques de l’Univers – Épisode 43

Mathématique, le langage de l’Univers

En commençant à préparer cette émission, nous avons rapidement pris conscience de l’ampleur et de la magnitude du sujet à aborder. On pourrait écrire des livres entiers sur la présence des mathématiques dans l’univers (d’ailleurs, ça a déja été fait!)

Que vient faire Dieu dans les mathématiques ?
Absolument tout.
Dans ce livre, Vern Poythress soutient que l‘harmonie entre les vérités mathématiques abstraites, le monde physique des choses et le monde personnel de notre pensée dépend de l’existence de Dieu. Poythress montre que ces « perspectives » distinctes sur les mathématiques sont cohérentes parce qu’elles trouvent toutes trois leur origine dans le caractère et la nature cohérents de Dieu.

Nous nous sommes vite rendus compte que nous ne pourrions pas aborder tous ces sujets dans une seule émission et nous avons été obligé de faire des choix, et certains points que nous comptions aborder dans cette émission (concernant Pi ou le Nombre d’Or notamment) ont été mis de coté et seront (peut-être/probablement/surement) abordés dans un prochain épisode.

Pour cet épisode, nous allons nous pencher sur deux textes fondateurs de nos civilisations: le Coran et la Torah.

Au-delà des ambitions spirituelles de ces deux textes, nous allons partir à la découverte de plusieurs étonnantes propriétés mathématiques qui leurs sont associées et essayer d’en comprendre la signification.


Les miracles mathématiques du Coran

Le Coran est un livre surnaturel du point de vue scientifique et toute son élégance se révèle à nous exclusivement en langue originelle dans laquelle il est écrit. Non seulement le Coran est écrit comme une poésie, il renferme en lui une rigueur mathématique que même nos technologies d’aujourd’hui ne sauraient reproduire. Cette rigueur est comme un rappel et une protection de la parole révélée.

Le nombre 19 et le Coran

Voici ce que dit la Sourate 74, verset 30-32 :

Sourate al-Muddaththir (celui couvert d’un manteau et fait allusion au Prophète Muhammad)

Sur Elle veillent dix-neuf ﴾30﴿ Nous n’avons pris comme gardiens du Feu que des Archanges. Nous avons pris ce nombre seulement pour éprouver ceux qui sont incrédules, pour que soient convaincus ceux qui ont reçu l’Écriture, pour que grandisse la foi de ceux qui ont cru, pour que ne doutent ni ceux qui ont reçu l’Écriture, ni les Croyants, pour que ceux dont le cœur est troublé et les Infidèles disent : « Qu’a voulu signifier Allah par ceci, en parabole ? Ainsi Allah égare qui Il veut et guide qui Il veut ! Nul ne connait les armées de ton Seigneur, sauf Lui. Ce n’est qu’une Édification (ḏikrā) pour les Mortels ﴾31﴿ Prenez garde ! Par la lune ! ﴾32﴿

Ici, on peut clairement lire que le « 19 » est un nombre soigneusement choisi afin d’éprouver les incrédules et pour protéger la parole révélée. Le nombre « 19 » est déjà très spécial en soi, car dans le système décimal, il est le 1 et le 9 qui peuvent s’interpréter comme « l’Alpha » et « l’Oméga. » Il est également un nombre premier, divisible seulement par 1 ou bien lui-même, il est donc très difficile de travailler avec ce nombre mathématiquement parlant.

Et le premier verset de la première sourate du Coran contient 19 lettres, comme pour annoncer que ce nombre aura une grande importance.

1 Au Nom de Dieu, Le Miséricordieux, Le Clément, (19)
2 Louanges à Dieu, Le Maître de l’Univers,
(17)

3 Le Miséricordieux, Le Clément, (12)

4 Le Souverain du Jour du Jugement dernier (11)

5 Toi, Seul, nous adorons, et de Toi Seul, nous implorons le secours. (19)

6 Guide-nous dans la Voie Droite, (18)

7 la Voie empruntée par ceux que Tu as comblés de Tes bienfaits, non ceux qui font l’objet de Ta colère, ni ceux qui se sont égarés. (43)

Ce n’est pas tout : Si l’on note un nombre de manière suivante : 1 pour le numéro de la sourate et on le continue avec le numéro de chaque verset (1234567). On obtient le nombre suivant : 11234567 et ce nombre divisé par 19 nous donne :

Demandez à n’importe quel mathématicien, il va vous dire que c’est un hasard ou une dinguerie

Prolongeons l’expérience. Si l’on remplace les numéros des versets par le nombre de lettres dont ils sont composés, ça nous donne : 119171211191843, divisé par 19

À partir de là, promis, on arrête de faire des maths. Nous allons observer d’autres apparitions de ce nombre dans le Coran :

  • 1 – Le premier verset 1:1 connu sous le nom de « Basmalla » est composé de 19 lettres.
  • 2 – Ce verset a été révélé après le verset 74:30 qui dit « au-dessus se trouve 19 ». Ce n’est pas une coïncidence.
  • 3 – Le Coran est composé de 114 sourates, ce qui correspond à 19 x 6
  • 4 – Le nombre total de versets dans le Coran est de 6346, soit 19 x 334 (6234  versets numérotés et 112 versets non numérotés (Basmalla). 6234 + 112 = 6346. Notez aussi que 6+3+4+6= 19
  • 5 – On trouve le « Basmalla » 114 fois dans le Coran, malgré son absence visible au début de la sourate 9 (on le trouve deux fois dans la sourate 27) et 114 = 19 x 6
  • 6 – Du Basmalla manquant de la sourate 9 jusqu’au Basmalla suplémentaire de la sourate 27, il y a exactement 19 sourates.

    7-
     Et la somme des numéros de sourates de 9 à 27 (9+10+11+12…+26+27) est de 342, soit 19 x 18

    8 –
     Cette somme (342) est aussi égale aux nombres de mots entre les deux Basmallas de la sourate 27 ! (Et 342 = 19 x 18 comme nous avons vu)
  • 9 – La célèbre première révélation (96:1-5) se compose de 19 mots.
  • 10 – Cette première révélation de 19 mots se compose de 76 lettres, or 76 = 19 x 4
  • 11 – La sourate 96, première dans l’ordre chronologique, se compose de 19 versets.
  • 12 – La première sourate révélée se trouve au sommet des 19 dernières sourates.
  • 13 – La sourate 96 se compose de 304 lettres arabes et 304 = 19 x 16
  • 14 – La dernière sourate révélée (la sourate 110) se compose de 19 mots.
  • 15 – Quatorze différentes lettres arabes forment 14 différents ensembles « d’Initiales Coraniques » ( telle que A.L.M, au début de la sourate 2) et se trouvent au début de 29 sourates. La somme de ces nombres est de 57 (14 + 14 +29) et 57 = 19 x 3
  • 16 – La somme des 29 numéros de sourates où l’on trouve les initiales coraniques est de 822 (2 + 3 +7 + … + 50 + 68) et 822 + 14 (14 différents ensembles d’initiales) = 836 = 19 x 44
  • 17 – Entre la première sourate où l’on trouve un ensemble d’initiales et la dernière, il y a 38 sourates sans ensembles d’initiales.
  • 18 – Le Coran mentionne 30 différents nombres entiers : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 19, 20, 30, 40, 50, 60, 70, 80, 99, 100, 200, 300, 1000, 2000, 3000, 5000, 50 000 & 100 000.
    La somme de ces nombres est de 162 146 = 19 x 8534
  • Vous aurez peut-être besoin d’une calculatrice pour les deux faits suivants.
  • 19 – Le mot Dieu (Allah) apparaît 2698 fois et 2698 = 19 x 142.
  • 20 – La somme des numéros des versets où le mot Dieu apparaît est de 118 123, c’est aussi un multiple de 19. 118 123 = 19 x 6217
  • 21 – Le message le plus important du Coran est « UN SEUL DIEU ». Le mot « UN », en arabe « Wahid », désignant Dieu apparaît 19 fois à travers le Coran.
  • 22 – Le mot « Wahid » lui-même (UN) a une valeur numérique de 19. W= 6, A= 1, H=8, D= 4. Ce sont des valeurs bien connues.

    23 – Le mot « Coran » apparaît 58 fois dans le Coran, dont une fois en référence à « un autre Coran » dans le verset 10:15. Donc si on l’exclut, on trouve le mot « Coran » (faisant directement référence au vrai Coran) 57 fois à travers le Coran. Et 57 = 19 x 3


    24 – 
    Le premier pilier de l’Islam est (comme on peut le lire dans le verset 3:18) : « La Elaaha Ella Hoo ». (Il n’y a de Dieu que de que Lui). Cette phrase très importante apparaît dans 19 sourates.

Le Coran est également codifié afin de refléter la création

La formulation « 7cieux » (sab’a samawaat) est répétée 7 fois« La création des cieux » (khalq al-samawaat) est, elle aussi, répétée 7 fois.

« Jour » (yawm) est répété 365 fois au singulier, alors que sa forme plurielle et duelle (jours) (ayyaam et yawmayn) sont toutes les deux répétées 30 fois. Le mot « mois » (chahar) quant à lui est répété 12 fois.

Les mots « homme » (rajoul) et « femme » (mar’ha) sont répétés un nombre égal de fois : 23 fois.

Le nombre de fois où les mots « homme » et « femme » sont chacun répétés dans le Coran est de 23 fois, et c’est en même temps celui des chromosomes de l’œuf et du spermatozoïde dans la formation de l’embryon humain. Le nombre total de chromosomes humains est de 46 ; 23 provenant de la mère et 23 du père.

Le mot « terre » (barr, yabas) apparaît 13 fois dans le Coran et le mot « mer » (bahr) 32 fois, totalisant 45 références. Si nous divisons ce chiffre par celui du nombre de références à la terre, nous arrivons à 28,888888888889%. Le nombre total des références à la terre et à la mer, 45, divisé par le nombre de références à la mer dans le Coran, 32, est de 71,111111111111%. Ce qui est extraordinaire, c’est que ces chiffres correspondent respectivement aux proportions exactes occupées par les terres émergées et les océans.

Bonus : le nombre d’or dans le Coran

Je vous invite à regarder cette démonstration de la présence du nombre d’or dans le Coran et vous faire votre propre idée :


Intermède Cinéma

Max, brillant mathématicien, souffrant de migraines intolérables, est néanmoins sur le point de faire la plus grande découverte de sa vie : décoder la formule numérique qui se cache derrière le marché des changes. C’est alors que tout bascule dans un immense chaos. Il est à la fois poursuivi par une grande firme de Wall Street qui souhaite dominer le monde de la finance, et par des cabalistes qui tentent de percer les mystères enfouis derrière les nombres secrets. (Allocine)


Le code secret de la Torah

jusqu’à 3:45

Les acteurs principaux

Michael Alan Drosnin

Michael Alan Drosnin (31 janvier 1946 – 9 juin 2020) était un journaliste et auteur américain, surtout connu pour ses écrits sur le code biblique, qui serait un ensemble de messages secrets codés dans le texte hébreu de la Torah.
Drosnin est né à New York. Diplômé de l’université Columbia en 1966[1], il travaille comme journaliste au Washington Post (1966-1968) et au Wall Street Journal (1969-1970).
(source: Wikipedia)

Eliyahu Rips

Ilya (Eliyahu) Rips (12 décembre 1948 – 74 ans) a grandi en Lettonie (qui faisait alors partie de l’Union soviétique) […]
Rips a rejoint le département de mathématiques de l’Université hébraïque de Jérusalem et y a obtenu son doctorat en mathématiques en 1975. Son sujet était le problème des sous-groupes dimensionnels. Il a reçu le prix Aharon Katzir. En 1979, Rips a reçu le prix Erdős de la Société mathématique d’Israël et a été orateur de section au Congrès international des mathématiciens en 1994.
Rips est professeur au département de mathématiques de l’Université hébraïque. Ses recherches portent sur les méthodes géométriques et combinatoires dans la théorie des groupes infinis.
(source: Wikipedia)

Harold Gans

Pendant 28 ans, M. Gans a été mathématicien principal en cryptologie à la National Security Agency, Département de la défense des États-Unis, jusqu’à sa retraite en 1996. Il y a reçu la prestigieuse Meritorious Civilian Service Award pour la recherche et a été certifié en tant que cryptanalyste professionnel.
M. Gans a été élu membre éminent du Crypto-Mathematics Institute pour ses nombreuses contributions et publications dans ce domaine, et a enseigné les mathématiques, les crypto-mathématiques et l’informatique au niveau universitaire.
(source)

Un nouvel outil de lecture de la Torah: l’ordinateur

Suite à l’apparition de l’ordinateur, des chercheurs ont soumis le pentateuque (les 5 premiers livres de la Torah) a des analyses statistiques qui, selon eux, ont permis de mettre à jour un étonnant code.

Il a été constaté que lorsque le livre de la Genèse est écrit sous forme de tableaux bidimensionnels, des séquences de lettres équidistantes épelant des mots ayant des significations apparentées apparaissent souvent à proximité. Des outils quantitatifs permettant de mesurer ce phénomène sont développés.
L’analyse de la randomisation montre que l’effet est significatif au niveau de 0,00002.

jusqu’à 7:25

source: Statistical Science

Statistical Science » est considérée comme une revue académique sérieuse et réputée dans le domaine de la statistique. Elle est publiée par l’Institute of Mathematical Statistics (IMS), une organisation professionnelle très respectée dans le domaine des statistiques et des probabilités. Le processus rigoureux d’évaluation par les pairs de la revue garantit que les articles publiés répondent à des normes académiques élevées. source: Chat AI GPT

Du coup, qu’est ce que ça raconte ?

jusqu’à 10:31

Un cas unique

jusqu’à 25:50

Prédire le futur ? L’exemple d’Yitzhak Rabin

Un consensus scientifique ?

La communauté en général pense que de nombreux mathématiciens, statisticiens et autres scientifiques considèrent ces affirmations comme crédibles. Cette croyance est erronée. Au contraire, l’opinion quasi unanime de ceux qui, dans le monde scientifique, ont étudié la question est que la théorie est sans fondement. Les signataires de cette lettre ont eux-mêmes examiné les preuves et les ont trouvées tout à fait non convaincantes.

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