Introduction
L’histoire de l’humanité et de notre planète est plus remplie de questions que de réponses. Dans ce live, nous allons émettre une hypothèse que nous appellerons « L’Hypothèse de la météorite de Taklamakan ». Cette émission contient la première partie de nos recherches. D’autres épisodes suivront. Mais alors pourquoi une nouvelle hypothèse ? Parce qu’il y a beaucoup trop d’éléments historiques, de phénomènes géologiques et météorologiques qui sont purement et simplement ignorés par le milieu scientifique. Si l’on met ces choses ensemble, elles décrivent une histoire qui apporterait beaucoup de réponses. Ouvrez votre esprit et préparez-vous à une nouvelle perception de l’histoire de notre planète (et accessoirement, la nôtre aussi). Commençons avec quelques questions.
La destruction de l’Atlantide
Il y a des écrits anciens qui parlent d’une civilisation très avancée, qui a disparu sous les eaux. Le monde connait cette civilisation sous le nom « Atlantide ». Quand on cherche, il n’y a pas beaucoup de recherches sur ce qui a fait disparaitre cette civilisation.
Selon les écrits anciens, c’est Poséidon qui a détruit l’Atlantide, pris par la colère. Poséidon est le dieu de la Mer.
Tout le monde la cherche sous les eaux suite aux témoignages des anciens, mais… il se peut que le déluge et la disparition de l’Atlantide soient liées, et dans le déluge, les eaux se retirent donc, l’Atlantide peut très bien se trouver sur la surface terrestre, après avoir passé un certain temps sous les eaux.
Le Déluge
Il y a l’histoire de la Bible qui parle d’un certain déluge qui aurait détruit presque l’ensemble de l’humanité en très peu de temps à l’époque de Noé. Après le déluge, les eaux se retirèrent à nouveau pour laisser les terres détruites reparaître à la surface.
Le déluge fut quarante jours sur la terre. Les eaux crûrent et soulevèrent l’arche, et elle s’éleva au-dessus de la terre. Les eaux grossirent et s’accrurent beaucoup sur la terre, et l’arche flotta sur la surface des eaux. Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes. Les eaux s’élevèrent de quinze coudées au-dessus des montagnes, qui furent couvertes. Tout ce qui se mouvait sur la terre périt, tant les oiseaux que le bétail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes. Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche, mourut. Tous les êtres qui étaient sur la face de la terre furent exterminés, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel: ils furent exterminés de la terre. Il ne resta que Noé, et ce qui était avec lui dans l’arche. Les eaux furent grosses sur la terre pendant cent cinquante jours.
Genèse 7 : 17 – 24
Dieu se souvint de Noé, de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’apaisèrent. Les sources de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la pluie ne tomba plus du ciel. Les eaux se retirèrent de dessus la terre, s’en allant et s’éloignant, et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat. Les eaux allèrent en diminuant jusqu’au dixième mois. Le dixième mois, le premier jour du mois, apparurent les sommets des montagnes.
Genèse 8 : 1 – 5
Le Déluge désigne une très ancienne inondation catastrophique causée par des pluies diluviennes et continues durant sept ou quarante jours, selon les versions. Surtout connu par le récit de l’Arche de Noé dans la Bible, ce mythe est présent dans de nombreuses cultures. Tout au long des siècles, la pluralité des mythes du Déluge (plus de six cents répertoriés) et des théories catastrophistes qui en découlent, a en effet « eu la particularité d’avoir donné à repenser continuellement l’histoire de l’humanité ».
Wikipédia
Les lacs salés
Il y a des lacs salés à des altitudes et positions géographiques incompréhensibles (outil en ligne pour voir les altitudes : topographic-map.com).
Utilisons Google Earth pour visualiser les positions des lacs suivants :
- La mer Caspienne (altitude – 28m, superficie 371 000 km2)
- La mer d’Aral (altitude 53,4m, superficie 66 458 km2)
- Le lac Balkhach (altitude 342m, superficie 18 200 km2)
- Le lac Namucuo (altitude 4718m, superficie 1920 km2)
- La mer Morte (altitude – 417m, superficie 1050 km2)
La mer Noire est aussi intéressante à explorer : La mer Noire (altitude – 0m, superficie 436 000 km2)
Si l’on observe bien ces lacs salés, ils sont en train de s’évaporer à une vitesse assez importante. Mais si cette évaporation s’effectue à une grande vitesse, cela prouve que ces lacs salés ne sont pas si anciens qu’on le croit.
Dernière grande extinction
Extinction du Quaternaire
La dernière grande extinction est beaucoup plus récente qu’on le croit. C’est l’époque où les mammouths et les smilodons disparurent à cause d’un changement climatique peu étudié et très mal compris.
L’extinction du Quaternaire désigne une période d’extinction massive durant le Pléistocène supérieur et l’Holocène, au cours de laquelle de nombreuses espèces animales ont disparu sur différents continents, principalement parmi la mégafaune. La fin du Quaternaire a vu l’extinction de nombreuses espèces, notamment au sein de la mégafaune, ce qui a entrainé une chute de la biodiversité. Certaines de ces espèces jouaient un rôle clé dans leur écosystème. La grande majorité des extinctions ont eu lieu dans la seconde moitié du Pléistocène supérieur ou au début de l’Holocène, d’environ 50 000 à 10 000 ans avant le présent.
Préboréal
Le préboréal désigne la première phase de l’époque Holocène, située entre 10 300 et 9 000 ans avant le présent. Dans l’ancien système de datation, il précède le boréal et succède au Pléistocène supérieur. Cette période a été marquée par une variation climatique appelée l’oscillation du préboréal (Preboreal oscillation, PBO), dont les origines sont encore mal connues.
Le mystère de l’oscillation du préboréal (???)
Qu’est-ce que l’oscillation du préboréal exactement ? La seule chose crédible que j’ai pu trouver, c’est cette étude :
La météorite de Taklamakan
Regardons cette carte ensemble et explorons certains éléments, notamment, le désert du Taklamakan :
Quelque part, dans le passé, pendant qu’une civilisation avancée dominait sur la terre, une météorite s’est écrasé à ce qui est aujourd’hui le désert de Taklamakan. Ce phénomène extrêmement dévastateur a provoqué des changements géologiques et météorologiques extrêmement rapides. Regardons maintenant une autre carte intéressante.
Si l’on regarde la carte des plaques tectoniques et leurs mouvements, la météorite s’est écrasé sur la plaque eurasienne à un certain angle, la poussant vers l’ouest ou sud-ouest. La plaque eurasienne a heurté violemment la plaque indienne, formant une gigantesque chaine montagneuse, mais aussi, la plaque arabique et la plaque africaine. Ces mouvements de plaques ont provoqué un changement important, propulsant en hauteur la plaque eurasienne.
Si la plaque eurasienne était partiellement sous la mer à cette époque, le fait que le sol se lève rapidement à cause du mouvement des plaques tectoniques, aurait pu forcer l’eau de mer de se déplacer en peu de temps. La majorité de l’eau aurait pu s’échapper autour, donnant la masse d’eau nécessaire pour un déluge dévastateur pour le reste du globe, mais aussi, certaines parties de cette eau de mer auraient pu rester coincées dans les terres qui se trouvaient de plus en plus haut, formant ces gigantesques lacs salés qui se trouvent parfois en altitude.
Basculement de l’équateur
L’impact avec la météorite aurait pu facilement provoquer un basculement de l’équateur. En effet, si on aligne certains monuments anciens (pyramides, etc), on finit avec une ligne qui fait le tour de la Terre. Cette ligne aurait pu être l’équateur de l’époque.
Le déluge
Quand on regarde la carte depuis le ciel, on remarque des traces de grands mouvements d’eau dans le désert de Sahara, mais aussi à plain d’autres endroits. Allons jeter un coup d’oeil sur Google Earth pour observer quelques exemples :
Le désert de Sahara était une oasis
Lorsque la plupart des gens imaginent un paysage désertique archétypal – avec son soleil implacable, son sable ondulant et ses oasis cachées – ils se représentent souvent le Sahara. Mais il y a 11 000 ans, ce que nous connaissons aujourd’hui comme le plus grand désert chaud du monde aurait été méconnaissable. La bande nord de l’Afrique, aujourd’hui désignée, était autrefois verte et vivante, parsemée de lacs, de rivières, de prairies et même de forêts. Alors, où est passée toute cette eau ?
Érosion par l’eau du Sphinx
L’hypothèse de l’érosion du sphinx par l’eau soutient que le principal type d’altération évidente sur les murs d’enceinte et le corps du Grand Sphinx a été causé par une exposition prolongée et importante à des précipitations antérieures aux règnes de Djédefrê et Khéphren, les pharaons auxquels les égyptologues attribuent la construction du Grand Sphinx et de la Deuxième Pyramide de Gizeh autour de 2500 avant notre ère.
Cités sous-marines
La cité sous-marine d’Heracleion en Égypte
Jusqu’à sa découverte dans les années 2000, on ignorait si le port de Thonis-Heracleion, mentionnée par Hérodote, avait véritablement existé ou n’était qu’un mythe. Dans l’esprit de cet ancien auteur, la cité était l’emporion d’Égypte, le lieu où négociants grecs et égyptiens échangeaient leurs marchandises.
Selon les archéologues, la ville antique a été engloutie 45 mètres sous la surface de la mer, à environ 6,5km du Delta du Nil, vers l’an 700. Les archéologues attribuent ce phénomène à la montée des eaux et à l’érosion du sol. Des dizaines de bateaux, des statues monumentales et des stèles de plusieurs mètres ont été retrouvées.
ques de Shi Cheng (La cité des lions) et He Cheng ont été submergées sous 30m à 40m d’eau. Ces deux cités avaient été construites respectivement sous la dynastie des Han orientaux et Tang (entre 25 et 200 avant JC). La cité des lions est toujours intacte et très bien préservée.
La mystérieuse pyramide engloutie de Yonaguni au Japon
Le monument de Yonaguni, énorme structure de pierre qui semble être mégalithique, a été découvert par Kihachiro Aratake, un organisateur de plongées touristiques, en 1985. La structure est constituée d’immenses plates-formes interrompues par des failles formant de grandes marches angulaires séparées par des parois à l’apparence lisse (les failles sont géologiquement récentes). Cette mystérieuse pyramide s’élève sur 76 mètres au-dessus des fonds marins. Selon l’archéologue Masaaki Kimura, ce monument servait à la fois de château et de temple.
La cité grecque submergée de Pavlopetri
Cité portuaire de l’âge du bronze, Pavlopetri se situe à environ quatre mètres de profondeur à l’extrême sud-est du Péloponnèse. Le village avait des bâtiments séparés, des rues, des routes mais aussi des tombeaux. Il semblerait que la cité ait été abandonnée au VIIIe siècle avant JC à cause de l’avancée de la mer, avancée qui s’est d’ailleurs poursuivie depuis puisque le village est désormais à plusieurs dizaines de mètres de la côte.
Port Royal, dans les profondeurs aquatiques de la Jamaïque
Port Royal était le siège du gouvernement britannique en Jamaïque, tout en étant le principal port de pêche et de commerce de l’île au cours du XVIIe siècle. À cette époque, le port abritait un grand nombre de pirates et de corsaires sous pavillon britannique qui attaquaient les navires français et espagnols.
Le port fut détruit par un grand tremblement de terre le 7 juin 1692, au cours duquel les deux tiers de la ville passèrent sous le niveau de la mer. Après cette catastrophe, l’activité commerciale de l’île se déplaça à proximité dans la ville de Kingston, l’actuelle capitale de la Jamaïque.
Qu’est-ce que l’œil du Sahara ?
Ce sujet est beaucoup trop intéressant pour l’aborder vite fait, alors…
La suite au prochain épisode…