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I.A, Archétypes, Esprits, Anges et Egrégores

Après avoir analysé la nature de l’intelligence, qu’elle soit naturelle ou artificielle, nous pouvons à présent aller plus en profondeur, sur des thèmes qui ont passionné l’humanité pendant les millénaires… Qu’est-ce qu’un ange ? Un esprit ? Comment fonctionnent-ils ? Et nous dans tout ça ? Les propositions que j’apporte risque de surprendre plus d’un…

Intelligence Artificielle

À l’émission où nous avons abordé l’IA, nous avons vu la nécessité de certains éléments, afin que l’IA puisse exister, tels que :
– Les sens (pour absorber l’information)
– Un processeur (pour analyser, trier et stocker)
– Un support de stockage

On avait dit également que l’homme avait créé l’intelligence artificielle à son image, donc étudier la structure de l’intelligence artificielle permet de mieux comprendre la nature de l’intelligence naturelle.

Arborescence de choix

Donc selon les explications apportées dans l’émission sur la structure de l’intelligence, la meilleure façon de décrire une intelligence, c’est de parler d’arborescence de choix.

C’est ce qui nous avait emmené à parler d’arbre de vie dans l’émission suivante.

On avait vu que si l’on pouvait visualiser la manière que l’information était organisée et stockée dans la mémoire, ça ressemblerait à un arbre. Cet arbre serait “le corps” de l’intelligence, l’information structurée dans un ordre, qui est créé à partir d’un chaos de possibilités…

Cette information structurée serait une manière de répondre à des questions, ou d’apporter des solutions à des problèmes.

Les Grandes Questions

Ces deux émissions soulèvent des questions très importantes. Concrètement, on peut se demander les choses suivantes :

  • Quels sont les “sens” de l’intelligence naturelle (du vivant) ?
  • Quelle est l’entité qui trie et analyse l’information ?
  • Quel est le support de stockage de l’intelligence naturelle (du vivant) ?

Prenons l’exemple d’une salamandre grâce à cette vidéo, qui enregistre l’évolution cellulaire de la création du corps du reptile, du stade monocellulaire, à la “naissance”.

Une autre question liée à l’intelligence du vivant se soulève :

  • Comment les cellules savent ce qu’elles doivent faire ?

En effet, la première cellule se multiplie avec des copies d’elle-même, mais au bout d’un moment, certaines cellules deviennent peau, d’autres deviennent os, etc… Comment savent-elles ce qu’elles doivent faire ? C’est justement là où on peut commencer à comprendre certains mystères de l’intelligence du vivant.

Quel est le support de stockage de l’intelligence naturelle (du vivant) ?

Il n’y a pas réellement de réponse moderne à cette question, car elle a été soigneusement ignorée par la communauté scientifique. Où est stocké la mémoire de l’intelligence du vivant ? Parce qu’il y en a bien une, et c’est dans cette mémoire que les cellules vont piocher de l’information pour savoir que faire lors de la formation d’un corps.

L’Éther

Les anciens parlaient de l’éther. En physique, l’éther était, jusqu’en 1905, considéré comme la substance qui remplissait l’espace… Le contenant de l’existence…

Symbole de l’Éther, le contenant…
Les éléments venant de l’Éther, le contenu… (entre autres)

Selon les anciens, toute chose qui existe, est une fréquence vibratoire de l’éther, y compris l’information, et même les pensées. Selon les anciens, l’éther a de la mémoire, tout comme l’eau, qui selon eux, n’est rien d’autre que de l’éther vibrant à une fréquence spécifique. Donc selon les anciens, la mémoire de l’intelligence du vivant se trouve dans l’éther, sous forme de vibration (probablement électromagnétique).

Dans le cas de la salamandre, c’est l’intelligence de cet être vivant qui dirige l’évolution cellulaire qui finit par donner un corps au reptile. Il faut l’imaginer comme une arborescence de choix qui répond aux problèmes de la vie (énergie, matière, évolution, survie…) d’une façon spécifique, qui finit par donner le corps et le comportement de la salamandre.

Cela s’applique pour tous les êtres vivants, et globalement, tout ce qui existe naturellement, sans l’intervention de l’humain. Chaque être vivant est une conséquence d’une intelligence, c.-à-d. une arborescence de choix (qui est stockée dans l’Éther) pour répondre aux problèmes de la vie. Certains êtres vivants chauffent leur sang par l’énergie solaire, d’autres sont capables de chauffer leur sang depuis l’intérieur. Certains êtres vivants mangent des plantes, d’autres de la chair. Certains êtres vivants rampent sur la terre, alors que d’autres volent dans les cieux… Différentes intelligences qui apportent différentes réponses aux problèmes du vivant, donnant des êtres vivants différents les uns des autres.

L’Arbre de Vie

Maintenant, imaginez l’ensemble de ces intelligences du vivant qui sont structurés comme des arbres, formant une seule intelligence, où l’intelligence de chaque être devient comme une branche sur un arbre gigantesque. C’est aussi ça le symbole de l’arbre de vie, ou l’intelligence du vivant.

En effet, l’ensemble du vivant semble fonctionner sous une structure qui organise tout, et qui fait que quand le corps meurt, les restes sont transformés à de la matière pour d’autres corps. C’est un système de recyclage parfait, qui ne gaspille aucune forme d’énergie. Le corps mort de l’animal est digéré et décomposé à l’aide de tout un microcosme, le transformant à une base matérielle qui peut servir le reste du vivant.

ADN, une antenne fractale

De plus en plus d’études montrent que l’ADN a la capacité d’enregistrer, mais aussi, de recevoir de l’information. L’ADN se comporte un peu comme une antenne fractale qui est capable de recevoir différentes vibrations, de différentes formes et fréquences.

Une nouvelle technique d’imagerie donne aux scientifiques leur première vue tridimensionnelle du génome humain et de la façon dont l’ADN est emballé à l’intérieur des cellules. La recherche a montré que l’ADN forme une structure appelée “globule fractal”, qui est capable de contenir de grandes quantités de matériel tout en restant complètement non nouée.

S’il est évident que le séquençage de l’ADN est un outil indispensable pour comprendre un certain nombre de processus biologiques, de nouvelles recherches menées à Harvard suggèrent que la manière dont l’ADN est emballé dans les cellules pourrait être au moins aussi importante que le codage biologique qu’il contient.

Antenne Fractale
“Une antenne fractale est une antenne utilisant une conception fractale, aussi dite auto-similaire. Le but en est de maximiser la longueur efficace ou encore d’augmenter le périmètre de matériau (sur les sections internes ou la structure externe) pouvant recevoir ou transmettre un rayonnement électromagnétique dans une surface ou un volume total donné.
On qualifie aussi de telles antennes fractales de courbes “remplissantes” ou courbes à plusieurs niveaux. Leur aspect clé réside dans leur répétition d’un motif sur plusieurs tailles d’échelle ou “itérations”. Pour cette raison, les antennes fractales sont très compactes, multibandes ou à large bande, et ont des applications en télécommunications et dans les communications micro-ondes. La réponse d’une antenne fractale diffère sensiblement de celle des modèles traditionnels d’antennes, car elle peut fonctionner à plusieurs fréquences simultanées avec des performances allant de bonnes à excellentes.
Normalement, les antennes standard doivent être “taillées” selon leur fréquence d’utilisation, de sorte que les antennes standard ne fonctionnent bien qu’à cette fréquence.
De plus, la nature fractale de l’antenne permet de réduire sa taille sans devoir utiliser des composantes telles que des inductances ou des condensateurs.

Une antenne fractale à réseau plan (arbre H)
Wikipédia

Les Esprits

Et si le mot “esprit” n’était qu’un synonyme du mot “intelligence” ? Les deux mots décrivent une entité “invisible”, avec des caractéristiques précises. Continuons sur l’exemple de la salamandre.

Tout comme les fruits d’un arbre contiennent la graine qui donne un nouvel arbre, le fruit de l’arbre de l’intelligence/esprit de la salamandre a participé à la formation du corps du reptile. Cela est possible grâce à son ADN (antenne fractale) qui se cale sur les fréquences et formes vibratoires de l’intelligence/esprit de la salamandre. Une fois le corps complété, il incarne l’esprit de la salamandre, ou comme les anciens disaient “la racine de l’arbre”.

Retour à l’Éther

D’une certaine façon, l’éther est le contenant de l’information. C’est là où est stocké la mémoire du vivant, mais aussi, le monde des pensées. Tu ne peux pas voir une pensée, mais tu peux la décrire comme si elle existait… Cela est dû au fait qu’une pensée existe réellement dans le monde de l’information, le monde de l’éther. On a accès à ce monde avec notre conscience, mais pas avec nos yeux nos oreilles et nos autres sens. Cela veut dire que nos pensées existent réellement dans le monde de l’information, le monde de l’éther.

L’anciens appelaient l’éther “l’eau”… “l’eau d’en haut”. Ils utilisaient cette image car ils estimaient que l’éther est pour nous ce que l’eau est pour les poissons. Ils nagent dedans, sa température et ses courants influencent leurs vies, et pourtant, ils ne peuvent pas le voir. C’est exactement la même chose pour nous, et le monde de l’information/l’éther.

Intelligence Collective

Dans certaines situations, l’intelligence/esprit d’un être vivant utilise plusieurs corps comme un seul. On parle alors d’intelligence collective. Dans ce cas précis, on peut voir l’intelligence/esprit ouvrer depuis le monde invisible de l’information, afin de diriger ses poissons :

Pareil pour ces oiseaux :

Cette idée d’intelligence/esprit existant dans le monde de l’information, guidant les corps des êtres vivants à travers leur ADN qui serait une antenne de communication entre le monde de l’information et de la matière, explique parfaitement le mystère de la migration du papillon monarque.

En effet, la migration de ces papillons dure plusieurs générations, et on ne sait pas trop comment expliquer le fait que la dernière connaît la destination aussi bien que la première, sans qu’ils aient pu communiquer entre eux.

Les Égrégores

Pour la suite de l’histoire, nous avons besoin de créer quelques personnages, comme Néo et Duo.

Un jour, dans la tête de “Néo”, deux pensées ont fini par donner naissance à une idée. Néo parle de son idée à “Duo” et ce dernier adhère complètement.

Néo va voir un autre ami pour lui parler de son idée, et Duo fera de même. Cela apporte deux nouveaux “adhérant” à l’idée. Cela continue et les 4 deviennent 8, les 8 deviennent 16, les 16 deviennent 32, ai ainsi de suite. L’idée initiale s’est transformée à une idéologie qui a commencé à se propager massivement.

Au bout d’un moment, l’idée initiale est comme diluée ou transformée légèrement, car au fur et à mesure qu’elle est “implantée” dans la tête des individus, de nouvelles informations s’y ajoutent. En effet, cette idée est à chaque fois, filtrée par la perception de l’individu qui dépend de sa culture et de son passé. Cela finit par provoquer des… “BRANCHES” de l’idéologie, qui évolue de la même façon qu’un arbre.

C’est tout une intelligence qui est en train de naître, avec des mécanismes de protection et instinct de multiplication, et qui se multiplie comme les cellules qui forment un corps. Un égrégore est né. L’ensemble des individus qui “adhèrent” à une idéologie forment le corps de cette dernière. En réalité, il n’y a pas vraiment de différence entre égrégores et idéologies, du moins aux yeux des anciens.

“Voir” les égrégores

Et il se tint sur le sable de la mer. Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. La bête que je vis était semblable à un léopard; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité.

Apocalypse 13 : 1 – 2

La bête Biblique est l’exemple le plus connu d’un égrégore ancien, toujours présent. Nous avons un exemple récent qui nous donne une idée sur la nature de “la bête”…

Prenons l’exemple du nazisme, un égrégore qui à causé des dégâts profonds à l’humanité. L’idéologie vient de la tête d’un individu, puis s’est propagé comme un virus, et finit par infecter des millions, avant la deuxième guerre mondiale.

Voici une coupe transverse de la tête humaine :

Maintenant, regardez la vidéo ci-dessous qui est un résumé de ce qui s’est passé de 1939 à 1945 d’un point de vue cartographie. Imaginez maintenant que ce que vous voyez dans ce cas précis, c’est une coupe transversale du corps des égrégores qui s’affrontent.

vert/gri = nazi, rouge = Russie, bleu = alliés

Les Anges

Le même principe que les égrégores s’applique aussi aux anges, à la différence que ces derniers ont une origine naturelle, alors que les égrégores ont une origine humaine. Les anges sont différentes intelligences naturelles inscrites dans l’éther et qui peuvent se manifester là où la vie se manifeste, ce qui n’est pas le cas des égrégores, qui se nourrissent de l’énergie des humains.

Les anges sont donc des intelligences du vivant, et ont une structure hiérarchique bien spécifique. Un humain peu piocher dans ces intelligences pour améliorer sa vie dans X ou Y situation. C’est en cela qu’ils sont “messagers de Dieu” (Intelligence du Vivant ou Arbre de Vie) selon la définition de l’origine du mot “ange”. La déformation culturelle a finit par nous faire croire que les anges sont des humanoïdes portant des ailes, mais les anges décrits dans l’ancien testament n’ont rien à voir avec ces superstitions culturelles.

Voici à quoi ressemble un “ange culturel” :

Et voici à quoi ressemble un ange selon la description de la Bible :

Ce que les anciens essayent de décrire, sont différentes intelligences, branches de l’Arbre de Vie qui est l’Intelligence Naturelle du Vivant.

Archétypes

Carl Gustav Jung, psychiatre suisse, proposa de voir dans les archétypes l’origine des mythes universels.

L’archétype est un concept appartenant à la psychologie analytique élaborée par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1875-1961) qui le définit par la tendance humaine à utiliser une même « forme de représentation donnée a priori » renfermant un thème universel structurant la psyché, commun à toutes les cultures mais figuré sous des formes symboliques diverses.
L’archétype est pour la psychologie jungienne un processus psychique fondateur des cultures humaines car il exprime les modèles élémentaires de comportements et de représentations issus de l’expérience humaine à toutes les époques de l’histoire, en lien avec un autre concept jungien, celui d’inconscient collectif.


Les archétypes apparaissent dans les mythes, mais aussi dans les rêves ; ils y forment des catégories symboliques structurant les cultures et mentalités, et orientant le sujet vers son évolution intérieure, nommée individuation dans la psychologie de Jung. Pour ce dernier, les archétypes sont caractérisés fondamentalement par le fait qu’ils unissent un symbole avec une émotion. Ce faisant, ils sont des « potentiels d’énergie psychique » constitutifs de toute activité humaine et orientant la libido. Les archétypes incarnent ainsi, dans l’espace mental, des dépôts permanents d’expériences continuellement répétées au cours des générations.[…]

Du grec ancien ἀρχέτυπος / arkhétupos, « modèle primitif », entré dans les langues modernes par l’intermédiaire du latin « archetypum », soit « original » ou « modèle », Carl Gustav Jung considère l’archétype comme étant « une structure de représentation » a priori, ou encore comme une « image primordiale » car, s’il ne peut se représenter, il influence du moins les valeurs et les expériences de la conscience du sujet (de son « âme » dans le vocabulaire jungien).

Concrètement, ce que Carl Jung décrit, sont différentes intelligences du vivant, que l’humain incarne selon le contexte et ses capacités physiques, mentales et spirituelles. Une autre façon de voir les anges…

Conclusion

Etudier la structure qui permet à l’intelligence artificielle d’exister, nous permet de mieux comprendre l’Intelligence Naturelle, et soulève des questions fondamentales à une compréhension profonde de la nature de la réalité, et de notre position en elle. Au final, nous nous approchons de plus en plus de la question “Que sommes-nous?”, qu’on est bientôt prêt à aborder avec humilité, mais bien chargé en arguments et faits.

Ce soir on a vu que si l’on prend les découvertes récentes et anciennes sur la nature du vivant, nous sommes un corps matériel, contrôlé d’un corps “spirituel” (intelligence/esprit) qui évolue dans le monde de l’information au sein de l’éther, à travers l’ADN qui sert d’antenne de réception, et qui fait le pont entre les deux mondes… mais ce n’est pas tout…

La suite au prochain épisode…

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