- files
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Baron Trump et la clé du temps

Introduction

Récemment, Barron Trump, le fils de Donald Trump, est entré dans la scène « médiatique » pour son implication dans la politique.

Finalement, il y a eu changement de plan, mais le fait est que le nom de Barron Trump a apparu dans l’actualité, et c’était un peu partout.

Si vous avez suivi nos émissions Y-Files, Les DéQodeurs, ou ADNM, vous vous rappelez que j’avais présenté Barron Trump en tant que l’antichrist (ou antéchrist pour certains) de la fin des temps, mais je n’avais pas compris à quel point l’arrogance humaine et les dogmes religieux ont endommagé la profondeur des textes anciens, les transformant à des légendes et superstitions.

Ce soir, je vais prendre le temps de vous exprimer ce que je comprends avec toutes ces histoires, car en se penchant sur le sujet Christ ou antichrist, on peut beaucoup apprendre sur ce que les anciens essayent de nous transmettre à travers le temps et l’intuition. Pour faire cette analyse, nous allons inévitablement voir quelques extraits de la Bible, et plus particulièrement, l’Apocalypse de Saint Jean.

On revient sur Barron Trump à la dernière partie de l’émission. Ce détour est nécessaire pour éviter les malentendus.

Précautions indispensables

Sans vouloir manquer de respect envers qui que ce soit, en ce qui me concerne, j’ai remarqué que le message de la Bible a été pervertie à travers les nombreuses traductions, qui sont inévitablement influencées par les croyances du traducteur. Saint Jean était un grand initié, mais pas celui qui a essayé de traduire l’Apocalypse, alors dans des situations où l’interprétation d’un mot compte car il ne peut pas être traduit directement, la traduction dépend de la qualité de l’interprétation du traducteur.

Maintenant, on ajoute à ça le fait qu’il y a eu de nombreuses traductions, des traductions de traductions, des interprétations de traductions, des traductions des interprétations de ces traductions… En peu de mots, il y a de nombreuses raisons qui me permettent de dire avec certitude que le message initial de la Bible, est camouflé dans toutes ces interprétations.

Prenons l’exemple de la plus importante des prières pour notre temps, le « Notre Père ». Le voici en français :

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal.
Amen

Source : EgliseCatholique.fr

Maintenant, on va prendre le même texte en grès ancien, avec la traduction exacte à côté :

Πάτερ ἡμῶν ὁ ἐν τοῖς οὐρανοῖς
ἁγιασθήτω τὸ ὄνομά σου
ἐλθέτω ἡ βασιλεία σου
γενηθήτω τὸ θέλημά σου,
ὡς ἐν οὐρανῷ καὶ ἐπὶ τῆς γῆς
τὸν ἄρτον ἡμῶν τὸν ἐπιούσιον δὸς ἡμῖν σήμερον
καὶ ἄφες ἡμῖν τὰ ὀφειλήματα ἡμῶν,
ὡς καὶ ἡμεῖς ἀφίεμεν τοῖς ὀφειλέταις ἡμῶν

καὶ μὴ εἰσενέγκῃς ἡμᾶς εἰς πειρασμόν,
ἀλλὰ ῥῦσαι ἡμᾶς ἀπὸ τοῦ πονηροῦ.
[Ὅτι σοῦ ἐστιν ἡ βασιλεία καὶ ἡ δύναμις
καὶ ἡ δόξα εἰς τοὺς αἰῶνας].

ἀμήν

Notre Père qui es aux cieux
que ton nom soit sanctifié
que ton règne vienne
que ta volonté soit accomplie
sur terre comme au ciel
donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien et remets-nous nos dettes
comme nous les remettons à nos débiteurs

et ne nous induis point en tentation
mais délivre-nous du malin.
[Car c’est à toi qu’appartiennent en toute éternité, le règne, la puissance et la gloire].

amen

La quasi-totalité des traductions modernes parlent d’offenses, alors que la prière originale parle de dettes. Ces deux mots là sont très différents, et ne veulent pas du tout dire la même chose. Une offense est un acte conscient et volontaire, alors qu’on peut très bien s’endetter, même si dans l’absolu, on ne veut pas. Cette différence peut conduire à un grand nombre de mal entendus… Et c’est de la prière centrale du christianisme qu’on parle. Si il y a ce genre de modifications dans un petit texte si important, on peut facilement en déduire qu’il y a eu ce genre de « petites » modifications un peu partout. Une seule modification ne peut pas forcement corrompre toute la collection de textes contenues dans la Bible, mais si on superpose toutes ces erreurs, on finit avec des dogmes et religions qui n’ont plus rien à faire avec le message originel des prophètes.

Ce genre de malentendus sont bien expliqués dans la Bible, car ce sont les « suiveurs » des textes anciens qui étaient censés attendre le messie, qui ont été à l’origine de la crucifixion du Christ. Les pharisiens, zélotes, et autres tribus du peuple d’Israël, étaient tellement concentrés à leurs croyances et interprétations des textes, qu’il n’ont pas connu leur propre messie, même quand ils l’avaient devant leur nez.

Un autre exemple typique, c’est le mot Apocalypse, qui dans la culture moderne est devenue un mot qui décrit une destruction, désolation, tragédie… alors qu’à l’origine, le mot veut simplement dire « Révélation ». Les révélations qui sont mentionnées dans l’Apocalypse de Saint Jean, parlent de prostituées, de bêtes avec 7 têtes, et un tas d’autres images terrifiantes, qui ont torturé les esprits des lecteurs, mais l’histoire finit sur un « Happy End ».

Honnêtement, je crois qu’il y a presque autant d’individus qu’il y a des interprétations de ce texte si mystérieux. Alors ce soir, nous avons deux missions.

  • Clarifier quelques malentendus à propos de la nature du Christ pour mieux comprendre ce que les anciens appelaient antichrist.
  • Se lancer dans la compréhension des mystères du temps, pour clarifier ce que veut dire « la fin des temps ».

Avant de continuer, j’aimerais préciser que Moïse n’était pas « juif » car il n’y avait pas encore de judaïsme, le Christ n’était pas chrétien, et que Mohammed n’était pas musulman.

Le Christ = Le Sauveur Intérieur

Avant de comprendre ce qu’est un « antichrist » (car selon les textes, il y en a beaucoup), nous devons essayer de comprendre le Christ, mais pas dans le contexte historique ou religieux. Dans ce cas précis, on va se concentrer à la façon qu’il se manifeste aujourd’hui.

Beaucoup de gens sont en train de se convertir au christianisme ces dernières années, y compris dans les personnages publiques et le milieu de l’art.

Ceux qui se convertissent au christianisme, le font parce qu’ils vivent des expériences particulières, qui les change profondément. Il y a comme une sorte de prise de conscience de quelque chose qu’ils n’avaient pas vu avant. C’est une démarche intérieure en général. Certains disent avoir rencontré le Christ, d’autre disent qu’IL a changé leurs vies, etc… Mais dans tous les cas, ils parlent d’interactions directes avec le Christ ou Dieu.

Alors c’est simple, le Christ, c’est exactement ça, c.à.d, IL se manifeste aux individus de façons différentes, dans une interaction directe. C’est ainsi qu’IL œuvre le Christ, directement sur nous, depuis l’intérieur sous forme de pensées ou émotions, ou de l’extérieur sous forme de « trop de coïncidences ».

Concrètement, le Christ est celui qui nous sauve de l’intérieur, en nous guidant avec beaucoup d’amour et de patience, en nous permettant de prendre conscience de nos péchés, en nous pardonnant quand nous péchons, en nous donnant du courage et de la force pour nous améliorer… En vérité, si quelqu’un suit les enseignements du Christ dans la théorie, mais surtout dans la pratique, il a tout ce qu’il faut pour devenir droit, intègre, utile pour lui-même, mais aussi pour les autres, et cela, de façon visible par toutes les autres croyances. Celui qui suit les enseignements du Christ n’a pas besoin d’attendre le retour du Christ pour dire qu’il a connu le Christ.

L’antichrist, ou le sauveur extérieur

Il n’y a que 4 versets de la Bible, qui mentionnent le mot « antichrist » :

Concrètement, un antichrist, c’est une entité qui s’oppose au Christ (Sauveur Intérieur). C’est le sauveur extérieur, celui qui se nourrit de l’espoir des autres, en les enfermant dans des illusions… Mais c’est un poil plus compliqué que ça. Parfois, le « faux sauveur » n’a rien demandé à personne, et ce sont les autres qui lui ont collé un tel titre, parce qu’ils ont vu un exemple inspirant, ou positif.

Donc l’antichrist est le sauveur extérieur. C’est un faux sauveur car il ne peut pas nous sauver de nos propres faiblesses. Maintenant que cela est dit, pensez aux 3 religions monothéistes, et celui qu’ils attendent depuis longtemps…

L’humanité est prête à accueillir une personne de ce genre. Quelqu’un qui ne porte pas atteinte à leur confort de vie, qui sera une force extérieure à eux-mêmes pour réaliser leurs pensées, leurs rêves de paix et d’harmonie sur terre : un monde de tolérance, d’amour et de bienveillance sans que cela ne leur coûte rien. Celui qui apportera tout cela, sera inévitablement considéré comme un sauveur, mais il sera un sauveur extérieur.

Le nom de l’Antéchrist a été assimilé au mal au travers des siècles, mais la vérité, c’est que lorsqu’il sera révélé, la majorité des gens ne le reconnaitront pas. Il n’apparaitra pas sous les traits de quelqu’un de répugnant, au contraire, il sera quelqu’un de juste, courageux, et quelqu’un d’une intelligence extraordinaire.

Analyse Biblique

Voyons ensemble quelques extraits de l’Apocalypse, pour comprendre un peu mieux les nuances à propos de l’antichrist. Il y a un extrait en particulier qui alimente toutes sortes d’interprétations, qui conduisent à des malentendus.

L’interprétation de ces lignes qui parlent d’une bête qui vient de la terre, est souvent guidée par la peur du lecteur. Cette peur s’interpose entre le lecteur et les mots, et le message se corrompe inévitablement.

Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait. Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués.
Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Apocalypse 13 : 11 – 18

C’est la deuxième bête qui vient de la terre… Terrifiant, n’est-ce pas ? En réalité, la situation est bien plus complexe que cela, et deux autres versets de la Bible démontrent qu’il y a beaucoup de nuances qui sont ignorées.

Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d’exécuter son dessein et d’exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies.

Apocalypse 17 : 16 – 17

N’est-ce pas étrange ? Dieu serait en train de « tirer les ficelles » de la bête ?

Explorons un autre extrait qui nous parle de la même chose. Ouvrons grands nos oreilles, car cet extrait s’adresse à nous, individuellement. Dans cet extrait, un ange demande à Saint Jean d’écrire des lettres aux différentes églises mais… là aussi, c’est un peu plus compliqué :

Ecris à l’ange de l’Eglise de Thyatire: Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain ardent… – Apocalypse 2 : 18

Donc le message de l’ange qui dicte ces mots à Saint Jean ne s’adresse pas à une église, mais à l’ange d’une église, celle de Thyatire… mais… savais tu que Thyatire n’est pas seulement une ville, mais ce mot veut aussi dire « odeur d’affliction » ? Savais tu que le nom Jézabel signifie « Baal est l’époux » ou « impudique » ? C’est important de se rappeler que les anciens considéraient le principe féminin comme celui des actes, le principe qui « donne corps » à une « graine de vie ». C’est important à cause de la suite d’Apocalypse 2 :

Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières œuvres plus nombreuses que les premières. Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu’ils se livrent à l’impudicité et qu’ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu’elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu’ils ne se repentent de leurs oeuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants; et toutes les Eglises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les coeurs, et je vous rendrai à chacun selon vos oeuvres. A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n’ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis: Je ne mets pas sur vous d’autre fardeau; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu’à ce que je vienne. A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu’à la fin mes oeuvres, je donnerai autorité sur les nations. Il les paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d’argile, ainsi que moi-même j’en ai reçu le pouvoir de mon Père. Et je lui donnerai l’étoile du matin. Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Eglises!

Apocalypse 2 : 19 – 29

Jézabel semble être la prostituée du chapitre 17 de l’Apocalypse :

Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques (Jézabel) et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement.

Il est à présent clair que cette histoire de bête qui vient de la terre, l’histoire de l’antichrist, et tous ces écrits, ont un message bien plus complexe et profond que celui propagée par des enseignements dogmatiques corrompus, créant les bases pour une répétition de l’histoire. De nouveaux « pharisiens » et « zélotes » marchent sur la terre aujourd’hui.

Prophéties

Maintenant, on passe au sujet du temps. Dans Y-Files, nous avons longuement parlé de prophéties :

Il y a eu de nombreuses prophéties qui ont déjà été réalisées, à travers différents âges, cultures et traditions. Il y a aussi d’autre prophéties qui semblent être en cours de réalisation, mais… comment font les prophètes pour voir l’avenir ? Cette question est plus qu’importante, car si ces prophètes avaient la possibilité de voyager dans le temps, cela veut dire que nous avons mal compris ce qui est le temps.

La fin du Monde

L’Apocalypse finit par la fin du monde, ou la fin des temps. Ces choses peuvent faire peur, mais nous devons prendre en compte certaines choses. Quand les anciens utilisaient l’équivalent du mot « Monde », ils parlaient du monde créé par les humains. Il y a la création de Dieu, et il y a la création des humains. Les anciens utilisaient le terme « création » pour parler de la planète, de la nature, et tout ce qui fait partie de l’univers en dehors des créations humaines, et utilisaient le terme « monde » pour parler des structures civilisationnelles.

De ce fait, Apocalypse 17 décrit la fin du monde, c’est à dire le jugement de la prostituée, c’est à dire Babylone, c’est à dire la civilisation dominante d’aujourd’hui, qui trouve ses origines dans l’église catholique romaine. En effet, ce qu’on considère comme civilisation occidentale, c’est la descendance de l’empire romain, qui est devenu un « empire » catholique avec le temps. Tout comme le Christ traitait les religieux de l’époque de « prostituées » parce que leur amour était intéressé et pas gratuit, Saint Jean parle de ce qui est devenu la descendance de l’église catholique en termes de corruption. Cela devient clair en voyant l’attitude du Vatican aujourd’hui, où nous avons pu assister à des « danses immorales » devant le Pape et les évêques.

La Fin du Monde donc, n’est rien d’autre que la fin d’une civilisation, qui s’effondre sous le poids de ses propres péchés. Et vous savez qui est le juge de cette prostituée (Babylone, civilisation occidentale) ? C’est la Bête, qui règnera jusqu’à ce que la volonté de Dieu soit accomplie, comme nous avons pu le voir plus haut.

La fin des temps

Là, c’est pareil. Quand on parle de la fin des temps, il faut bien comprendre ce que les anciens appelaient « les temps ». Ils utilisaient ce terme pour designer comme des saisons, ou des périodes : « c’est le temps de la récolte ». Quand ils parlaient de la fin des temps, ils parlaient de la fin des « saisons » ou « périodes » qui permettent à l’évolution de l’humain. La finalité de tout ça, c’est le retour de l’homme à son état initial, avant sa chute. À Eden, le temps n’existe pas, du moins pas tel que nous le percevons aujourd’hui.

Ajoutons à ceci notre mauvaise compréhension du temps, et notre incapacité d’expliquer les prophéties, et nous constatons ici un trou important de connaissance, à propos de ce phénomène qui canalise nos vies, c’est à dire, le temps.

Un livre mystérieux

Maintenant, revenons à Barron Trump. La raison pour laquelle je sait qu’il représentera le sauveur extérieur, je ne pourrais pas vraiment l’expliquer pour de nombreuses raisons (personnelles ou pas), mais ce livre là, est un gros indice. C’est un livre peu connu, écrit à la fin du 19ème siècle, par un auteur mystérieux. Voici ce qu’on trouve sur internet à propos de ce livre :

Ce volume rassemble TROIS romans d’INGERSOLL LOCKWOOD qui ont récemment marqué le XXIe siècle. Écrits il y a plus de 120 ans, les deux premiers romans mettent en scène un enfant, nommé Baron Trump, qui réside sur la 5e avenue de New York, dans une tour portant son nom, avec son maître Don. Un troisième roman raconte l’histoire d’un président qui remporte les élections par surprise.
Les romans du Baron Trump racontent les aventures du jeune Allemand Wilhelm Heinrich Sebastian Von Troomp, surnommé le « Baron Trump », qui découvre d’étranges civilisations souterraines, offense les indigènes, fuit ses liaisons avec les femmes locales et répète ce schéma jusqu’à ce qu’il rentre chez lui, à Castle Trump.

Chris Riotta a noté dans Newsweek que les aventures du baron Trump commencent en Russie et a également mentionné un autre livre d’Ingersoll, The Last President, dans lequel la ville natale du président, New York, est déchirée par des manifestations contre une élection présidentielle truquée. Jaime Fuller a écrit dans Politico que le baron Trump est « précoce, agité et enclin à s’attirer des ennuis », qu’il mentionne souvent son cerveau massif et qu’il a une insulte personnalisée pour la plupart des gens qu’il rencontre.
Ces romans, et certaines de leurs phrases et situations, amènent vraiment les gens à se demander s’il existe des auteurs qui ont une fenêtre sur l’avenir, de véritables prophètes comme Verne et son « De la Terre à la Lune », Poe avec son Arthur Gordon Pim (une histoire qui s’est produite avec des noms et des prénoms 50 ans plus tard) ; et Robertson dans Futility or the Wreck of the Titan, un roman sur le naufrage du Titanic, avec des lieux de tournage et des lieux d’exposition.

Il se trouve, que Barron Trump, le fils de Donald Trump, a aussi grandi dans une tour qui est à l’adresse mentionné dans le livre, et la tour porte le nom Trump, donc porte le nom de Barron.

La Trump Tower est un gratte-ciel de 58 étages, situé au 725 de la Cinquième avenue, au croisement de la 56e rue à New York, États-Unis.

Les deux premiers livres parlent de notre temps passé, où Baron Trump rencontre d’anciennes civilisations, ou des êtres très étranges. Le troisième livre semble parler d’une période qui ressemble très très fortement à ce que nous vivons. Lisons quelques extraits. Le 3ème livre qui se nomme « Le dernier président », et qui semble parler de ce qui se passe aujourd’hui, commence comme ça :

Ce fut une nuit terrible pour la grande ville de New York, la nuit du mardi 3 novembre 1896. La ville chancela sous le coup, comme un énorme paquebot qui plonge, à pleine vitesse, dans un fracas terrible contre un puissant iceberg, et qui recule, brisé et tremblant comme un tremble.

Cette histoire me rappelle le Titanic mais il y a un bug « temporel » car ce livre date d’avant 1900, et le Titanic date de 1912…

Un peu plus loin, on peut lire :

« Heureusement, le gouverneur Morton était en ville et, bien qu’une pâleur plus profonde ait remplacé la teinte cendrée de l’âge lorsqu’il parla, il n’y eut aucun tremblement dans sa voix : « Que les septième, vingt-deuxième et soixante et onzième régiments reçoivent l’ordre de se mettre sous les armes« . En quelques instants, on entendit des centaines de messagers courir dans les rues silencieuses, convoquant les membres de ces régiments dans leurs armureries.« 

On ne peut ignorer ici les coïncidences avec ce que nous sommes de voir aujourd’hui. Ceux qui suivent les lives de Mardi comprennent de quoi je parle. Nous sommes proches d’une intervention militaire aux États-Unis, qui révélera la véritable nature des forces qui dirigent notre monde (Babylone).

Cela n’est pas sans rappeler le message d’un certain Q, qui dit que les militaires sont la seule solution devant l’ampleur de la corruption.

Post Q 26 du 01/11/2017

« Pensez-y logiquement.
Le seul moyen est l’armée. Entièrement contrôlé. Sauvegarde et diffusion (une fois que 11.3 sera vérifié comme premier marqueur).
La plus grande diffusion avancée sur Pol.
« 

Lisons maintenant un autre extrait, un peu plus grand, qui est le début du chapitre 2 :

Aussi grand qu’ait été l’étonnement du monde devant le soulèvement des « masses en lutte » de M. Bryan dans la ville au bord de la mer, et devant le fait que ses magnifiques maisons aient échappé de justesse au feu et aux flammes, plus grand encore a été l’étonnement lorsque la nouvelle a été diffusée à travers le pays que Chicago n’avait pas besoin d’un seul soldat fédéral.
« Chicago est folle, mais c’est la folie de la joie. Chicago est entre les mains d’une foule, mais c’est une foule composée de ses propres habitants – bruyante, grossière et tapageuse, l’exultation naturelle d’une classe soudainement affranchie ; mais qui n’a d’autre but que de se glorifier des âmes scélérates et égoïstes qui ont broyé les visages des pauvres et tourné la vis impitoyable du pouvoir social et politique dans le cœur des « gens du commun » jusqu’à ce que son dernier fil ait été atteint, et que le désespoir ait pressé son visage lupin contre la porte de l’homme qui travaille. « 
Et pourtant, en ce moment où l’air nocturne frémissait des vociférations folles des « gens du peuple », que le Seigneur avait été bon pour eux ; que les méchants changeurs avaient été chassés du temple, que les usuriers au cœur de pierre avaient enfin été battus, que le « Guillaume du peuple » était désormais à la barre, que la paix et l’abondance reviendraient dans quelques lunes dans la chaumière du pauvre, que l’argent était roi, oui, enfin roi, le monde se demandait encore pourquoi l’anarchie aux yeux rouges, alors qu’elle se tenait sur Haymarket Square, les bras minces en l’air, l’air sauvage et la gesticulation encore plus sauvage, ne tirait pas de son sein une bombe de dynamite pour la lancer sur les sbires détestés de la loi qui étaient les spectateurs silencieux de ce délire de joie populaire.
Pourquoi en était-il ainsi ? Regardez et vous saurez pourquoi la paix en robe blanche suivait cette bande turbulente et détournait ses pensées du pillage en règle. Il était là. L’esprit maître qui les tenait en laisse. C’est lui, et lui seul, qui avait hissé Bryan à sa grande éminence. Sans ces vingt-quatre voix électorales, Bryan était condamné, désespérément condamné. Lui, et lui seul, tenait le grand Commonwealth de l’Ouest fermement dans la ligne démocrate ; il est donc venu en conquérant, en faiseur de roi, et les murs mêmes des édifices qui touchent le ciel ont tremblé lorsqu’il a été traîné dans les rues bondées par cette foule ordonnée, et dix fois dix mille de ses créatures ont mugi son nom et secoué leurs chapeaux en l’air dans une exultation folle :
« Tu es notre sauveur, tu as nettoyé le temple de la liberté de sa horde d’usuriers. Nous te saluons. Nous vous appelons le faiseur de roi. Bryan t’appellera aussi Maître. Vous aurez votre récompense. Vous vous tiendrez derrière le trône. Ta sagesse nous rendra entiers. Vous purgerez le pays de cette foule illégale de prêteurs. Vous sauverez la République. Vous êtes plus grand que Washington. Vous êtes un meilleur ami que Lincoln. Vous ferez plus pour nous que Grant. Nous sommes vos esclaves. Nous vous saluons. Nous vous remercions. Nous vous bénissons. Hourra ! Hourra ! Hourra ! »

Et on finit avec cet extrait du chapitre 5 qui me parait pertinent, à propos du sujet que nous étudions ici :

À l’occasion de l’anniversaire de Washington, le président a publié un discours de félicitations au peuple des États-Unis, dont voici un extrait :
« Chers concitoyens, souvenez-vous des liens qu’une classe d’usuriers et de spéculateurs malveillants et égoïstes vous a imposés, et en ce jour anniversaire de la naissance du Père de notre pays, renouvelons nos promesses de défaire complètement et absolument leur œuvre infâme, et dans les assemblées publiques et les cercles familiaux, confirmons par de nouveaux vœux notre amour du droit et de la justice, afin que le grand gain ne nous échappe pas, mais qu’il continue à augmenter tant que les livres de lois contiendront une seule trace du registre de notre esclavage. Quant à moi, je n’ai qu’une ambition, c’est de vous mériter si bien que, lorsque vous écrirez mon épitaphe, vous mettrez sous mon nom cette seule ligne : « Ci-gît un ami du peuple ».

Le personnage qui prononce ces mots, est quelqu’un qui sera inévitablement perçu comme un sauveur. Il recevra l’autorité de ceux qui le verront comme un sauveur, et ceux-là seront très nombreux… Mais il sera un sauveur extérieur, avec tout ce que cela sous-entend. Le risque, c’est qu’une telle personne, avec un tel intellect extraordinaire, finisse par réellement croire qu’il est le sauveur du monde, et qu’il tombe dans l’arrogance, et qu’il reproduise les mêmes erreurs que Nimrod, celui qui voulait construire la tour de Babel…

Dans le lien ci-dessous, vous pouvez trouver les livres en anglais, mais avec un traducteur, vous pouvez facilement le traduire. Les traducteurs tels que Deepl, font des traductions parfaitement cohérentes.

La clé du temps

Les mêmes raisons inexplicables qui me poussent à dire que Barron Trump sera un sauveur extérieur, me poussent aussi à dire que ce dernier apportera la clé nécessaire, pour débloquer la théorie de la relativité. Notre perception du temps changera, ce qui ouvrira encore plus les portes de notre « immortalité », qui est notre véritable nature, et ça sera ça la « fin des temps ».

Les livres d’Ingersoll Lockwood aura peut-être un rôle à y jouer, car ceux qui comprennent ses différentes couches de lecture, comprennent aussi que la question du temps fera partie des sujets à venir, car le personnage Baron Trump est un voyageur dans le temps.

Conclusion

On parle donc de la fin du monde et de la fin des temps, mais l’un veut dire que le monde corrompu qui détruit la terre sera jugé et éliminé, pour laisser place à la construction d’un nouveau monde, ou la véritable Justice et la Paix seront rois.

Restons attentifs, et évitons l’idolâtrie. Rappelons-nous des enseignements du Christ, et faisons au mieux, pour les suivre. Soyons courageux, humbles, bienveillants, aimons nous les uns les autres, et occupons-nous de la poutre qui nous rendu aveugles, plutôt que de s’occuper de la paille qui cache la vue de nos voisins, et rappelons-nous de ces mots : L’Eglise n’est pas un musée pour les gens « bien », mais c’est un hôpital pour les brisés.

Je vous propose de finir sur cette vidéo qui rappelle certaines choses importantes à propos du Christ :

Table des matières

Vous êtes notre indépendance
Autres articles